La France et l’Autorité de la Concurrence viennent de condamner Sony / PlayStation à devoir payer 13,5 millions d’euros pour pratiques anti-concurrentielles ! Notamment concernant les manettes PlayStation 4.
PlayStation pourrait bientôt perdre 7,9 milliards d’euros dans un autre procès du même type… Dossier problèmes Juridiques PlayStation.
- Pratiques anti-concurrentielles – PlayStation : bientôt un synonyme de Sony ?
- PlayStation VERSUS Autorité de la Concurrence : Autorité de la Concurrence Win ! Perfect !! Sony : loose…
- PlayStation : l'Apple du jeu vidéo ?!
- Deuxième procès en cours au Royaume-Uni : condamnation de 7,9 milliards d'euros à la clé contre PlayStation…
- Des actions correctrices PlayStation… Qui confirmeraient des années de pratiques douteuses : faisant s'écrouler tous les prétextes de Sony…
Pratiques anti-concurrentielles – PlayStation : bientôt un synonyme de Sony ?
C’est en tous les cas ce que l’on peut se demander à propos de la firme japonaise appartenant à Sony.
Tant elle est se voit décriée au fur et à mesure que les années passent : n’étonnant même plus les joueurs, fans de la marque. Pire : de plus en plus écœurés et déçus par cette dernière… C’est dire l’impact négatif totalement contreproductif de la part de certains dirigeants décisionnaires de Sony…
Malheureusement, Sony / PlayStation n’en sont plus à leur coup d’essai et sont depuis bien longtemps (dès leurs débuts) loin d’être borderlines. La firme PlayStation (et le groupe Sony) étant même très souvent épinglée, juridiquement parlant…
PlayStation VERSUS Autorité de la Concurrence : Autorité de la Concurrence Win ! Perfect !! Sony : loose…
Dans cette histoire d’Abus multiples concernant la manette PlayStation 4 de Sony.
L’Autorité de la Concurrence vient de condamner PlayStation à devoir verser la coquette somme de 13,5 millions d’euros d’amende.
Pour politique commerciale abusive de Sony, via l’activation de son patch empêchant le bon fonctionnement de toutes les autres manettes de jeu PS4. Et de ce fait : empêcher ses concurrents de s’étendre.
Ce fameux patch provocant des déconnexions intempestives des manettes (pas marque PlayStation) pendant les parties. Faisant passer par la même occasion les manettes concurrentes pour des produits de moindre qualité…
Sony Prétendait vouloir lutter contre les imitations de manettes PS4.
Sauf que le patch en question affectait significativement et de façon volontaire TOUTES les manettes concurrentes : SAUF les leurs… Un but clairement anti-concurrentiel…
PlayStation : l’Apple du jeu vidéo ?!
Dans cette histoire, PlayStation n’a rien fait pour corriger la détérioration du bon fonctionnement (créé de toute pièce) de l’intégralité des manettes concurrentes.
Affectant par la même occasion (de manière volontaire) l’image de marque des sociétés concernées par ce scandale PlayStation.
Les circonstances aggravantes de PlayStation : quand Sony persiste et signe…
Pire : PlayStation n’a jamais daigné rendre accessible les programmes de licences Sony PlayStation, dans le but de remédier à ces soucis. Un facteur aggravant d’autant plus l’attitude lobbyiste de Sony vis-à-vis de ses concurrents hardwares…
Ce qui a d’autant plus motivé l’Autorité de la Concurrence à classifier la qualification des actes de Sony en tant qu’entorse aggravée à la libre concurrence…
Les concurrents payant (il faut le rappeler) pourtant un pourcentage de royalties à la firme nippone. Pour pouvoir sortir des accessoires sur console PlayStation 4 (et autres consoles PlayStation).
Créant de ce fait une situation de monopole hardware par PlayStation : via leur décision arbitraire et de leur si mauvaise stratégie commerciale (à court terme).
Depuis que le prétendu départ volontaire de Jim Ryan (un mensonge de plus de PlayStation : mais auquel personne ne croît…) a été officialisé, la situation a l’air de se détendre en interne.
Même si les agissements de Jim et d’un certain nombre de cadres dirigeants PlayStation n’auront clairement pas aidé à éviter ce genre de procès (ben au contraire)…
Deuxième procès en cours au Royaume-Uni : condamnation de 7,9 milliards d’euros à la clé contre PlayStation…
Alors que la France vient de carboniser la firme : cette fraîche condamnation n’est qu’un apéritif comparé à ce que risque la société japonaise au United Kingdom…
PlayStation est cette fois-ci épinglé pour :
- Position Dominante
- Prix anormalement excessifs des jeux sur le PlayStation Store. Concernant les 8,9 millions de joueurs PlayStation au Royaume-Uni
- Commissions trop importantes pour les développeurs, sur la plateforme
- Prix des jeux bien plus élevés que sur les plateformes concurrentes. Même en comparant avec les jeux en support physique !
- Prix les plus chers sur le PlayStation Store, que partout ailleurs !
- Achats intégrés également jugés bien trop excessifs
Ce qui représente des commissions excessives répercutées sur le prix final de tous les jeux : payés par les con-sommateurs de joueurs… Et augmentant les marges opérationnelles de PlayStation…
7,9 milliards d’amendes qui pourraient être infligées dans cette histoire juridique à PlayStation… Sans compter les énormes dégâts sur l’image de marque de la société, à la suite de ce scandale Sony…
Des actions correctrices PlayStation… Qui confirmeraient des années de pratiques douteuses : faisant s’écrouler tous les prétextes de Sony…
- PlayStation pourrait opérer des actions correctrices salvatrices :
- Réduire le prix de ces jeux jugés bien trop élevés par rapport à toute l’offre concurrente (bulle artificiellement créée)
- Baisser de façon importante tous les achats intégrés (éléments d’améliorations ou supplémentaires dans un jeu : voitures, personnages, équipements…)
- Faire de même pour les commissions des développeurs sur le PlayStation Store
Tout cela aurait pour effets de résoudre (en partie) l’impact préjudiciable des choix douteux pour la firme nippone.
Un effet château de cartes faisant s’écrouler les fallacieux prétextes de Sony…
En revanche, si PlayStation agissait de la sorte alors que les prix PlayStation avaient été très précédemment fortement augmentés (PlayStationPlus).
Sans oublier la hausse que s’époumonait à justifier PlayStation : comme lors de chaque hausse de prix de vente effectuée (consoles, accessoires, jeux, abonnements, services…).
Cela viendrait prouver que tout l’argumentaire de Sony était bel et bien du vent !
Et ouvrirait un genre de boite de Pandore que la firme ne pourrait plus jamais refermer dans de nombreux marchés et territoires…
Tel est pris qui croyait prendre, comme la contre-démonstration de Sony / PlayStation lors du rachat d’Activision / Blizzard / King pendant 18 mois…
Et le masque (public) qui tombait auprès des instances juridiques du monde entier (notamment au Royaume-Uni…). Ce que nous affirmions en long, en large et en travers dans nos différents dossiers, comme :
Blizzard – Microsoft VS Sony – Google – NVIDIA : gang of chouineurs ?
Sans compter avec l’expérience (personnelle) de la politique commerciale générale de la firme.
En tant qu’ancien responsable commercial (jeux vidéo, informatique, produits électroménagers bruns / blancs / gris / multimédias).
Expériences personnelles / professionnelles / extra-professionnelles
Il serait néanmoins important pour PlayStation de :
- Commencer à renforcer la transparence sur la plateforme. Ce qui n’est pas du tout le cas actuellement.
- De vraiment commencer à redistribuer plus de pourcentage auprès des développeurs : ce qui éviterait des licenciements consécutifs, dans certains studios…
- D’avoir une offre commerciale ENFIN respectueuse des droits des consommateurs…
- Et de ne plus prendre ses joueurs de haut, avec condescendance.
PlayStation Japon doit taper fort du poing sur la table et terminer de faire un vaste nettoyage pour absolument ne pas chuter de haut.
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