Vingt-cinq ans que la Dreamcast de SEGA a été commercialisée au Japon : ça se fête !
La plus révolutionnaire des consoles de salon de SEGA a véritablement laissé son empreinte dans l’Histoire des jeux vidéo et dans le cœur des joueurs.
DOSSIER SPÉCIAL 25 ANS DE LA SORTIE DE LA SEGA DREAMCAST !
- 27 novembre 1998 – 27 novembre 2023, 25 ans de la commercialisation de la SEGA Dreamcast : joyeux anniversaire !
- Dreamcast – ドリームキャスト : LA console révolutionnaire de SEGA !
- Les line-up disponibles à la sortie de la SEGA Dreamcast !
- Ludothèque Dreamcast : quelques exemples d'incroyables jeux Dreamcast !
- Dreamcast : une console trop en avance sur son époque ?
- Dreamcast – SEGA : entre rude concurrence et coups en dessous de la ceinture…
- SEGA – Dreamcast : entre fins de génération, génération naissante, nouvelle concurrence et erreurs du passé…
- Erreurs stratégiques, guerres intestines, abandon des développeurs / de leurs jeux… LE nauvrage Dreamcast, sabordé par SEGA !
- SEGA : l'arrêt en tant que constructeur de consoles de salon… L'épisode SEGA – SAMMY
- Console Xbox : la Dreamcast 2 spirituelle de Microsoft ! Entre romantisme des joueurs SEGA et débuts de la next gen
- Dreamcast + Xbox = Dreamcast 2 spirituelle V2 !
- Dreamcast 2024 : toujours un noyau dur de passionnés autour de la console révolutionnaire de SEGA !
- Over Jump Rally : l'ambitieux Remake Unreal Engine 5 – 4K – de Sega Rally d'Alessandro Schiassi !
- SEGA Dreamcast Info Games Préservation – Laurent Comby : l'archéologue 2.0 de la Dreamcast et du jeu vidéo
- 25ᵉ anniversaire de la Dreamcast de Sega : conclusion
27 novembre 1998 – 27 novembre 2023, 25 ans de la commercialisation de la SEGA Dreamcast : joyeux anniversaire !
À tous points de vue, la console Dreamcast de SEGA a été une incroyable aventure et scénario dans le monde du jeu vidéo !
Pour celles et ceux qui n’ont pas eu la chance de vivre cette époque bénie des Dieux des jeux vidéo. L’arrivée de la console de salon SEGA a été complètement démentielle !
Pouvoir aujourd’hui fêter les 25 années de la Dreamcast et souffler sur les bougies d’une époque vraiment singulière de l’Histoire du jeu vidéo.
Avec un scénario fou, des jeux déments, un niveau de créativité et de qualité incroyables. Mais finalement un scénario assez triste pour les amateurs de jeux vidéo…
Des péripéties et un déroulé que vous vivrez ou revivrez au travers de ce dossier spécial : 25 ans de la Dreamcast.
Happy Birthday, Sega Dreamcast et bon 25 ans !
Dreamcast – ドリームキャスト : LA console révolutionnaire de SEGA !
Révolutionnaire sur bien des points, la Dreamcast a été réellement impressionnante sur le papier !
Le constructeur japonais avait sélectionné une impressionnante fiche technique pour une console de cette époque et introduisant tout un tas de changements.
En étant comme bien souvent précurseur à bien des égards. Notamment en lançant les prémices des consoles next gen et en dessinant le contour de nouvelles bases du jeu vidéo moderne.
Spécificités techniques Dreamcast
- Processeur 128 bits Hitachi SH-4 RISC. 200 Mhz.
- Coprocesseur graphique Nec / Videologic – Power VR2 extrêmement puissant en 3D. 3 millions de polygones / seconde, 360 MIPS, 1,4 Giga Flops.
- Mémoire de grande capacité. Mémoire principale 16 MO. Mémoire vidéo 8 MO. Mémoire sonore 2 MO.
- Graphismes : 640 x 480 True Colors – 16,8 millions de couleurs.
- Processeur sonore Yamaha, processeur ARM7 32 bits 64 canaux cadencé à 45 Mhz.
- Lecteur de GD-Rom Yamaha 12x (plus rapide que celui de la PlayStation 1). Disques avec un stockage plus important (1,2 Go).
- Périphériques : port 4 manettes. Sortie vidéo VGA – UHF anti-aliasées).
- Manette nouvelle génération, incorporant une mémoire d’un nouveau type (Visual Memory Unit) et gâchettes analogiques.
- Carte mémoire VMU avec écran LCD incorporé (précurseur bien avant la Wii U) et indépendante (mini-jeux) et pouvant se connecter physiquement entre deux modèles.
- Modem 33,6 Kbits/s (Europe) et 55,6 Kbits/s (USA, Japon) incorporé pour aller sur Internet et de pouvoir tenter de jouer en réseau, via DreamPassport – DreamArena ! Avec compatibilité (option) modem Broadband Adapter Haut-Débit.
- Windows CE en OS (système d’exploitation), facilitant grandement le développement de jeux et le portage de jeux PC sur console.
Malheureusement, SEGA (certaines personnes) commettra des erreurs majeures et ne saura pas mettre à profit une puissance technologique plus importante que ses concurrents.
En commettant certaines d’entre elles : cela n’aidera pas la firme de Haneda et se savonnera la planche tout seul…
Les line-up disponibles à la sortie de la SEGA Dreamcast !
Les jeux disponibles au lancement des consoles est un élément clé dans une stratégie réussie, lors du lancement d’une console.
En adaptant les jeux aux différents territoires visés, être assez diversifiés et bien se vendre. La Dreamcast n’échappe donc pas à cette règle cruciale.
Avec un lancement au Japon faiblard, expliqué par un nombre de jeux disponible au lancement ridicule.
Mais se rattrapera par la suite : avec un total de 606 jeux (!) commercialisés à la fin de la Dreamcast Jap !
Voici le Line-Up des jeux disponibles lors du lancement de la console SEGA Dreamcast (Japon, Amérique du Nord, Europe) :
Japon – 27 novembre 1998
- Godzilla Generations
- July
- Pen Pen Trilcelon
- Virtua Fighter 3 TB
Amérique du Nord – 9 septembre 1999
- AeroWings
- Airforce Delta
- Blue Stinger
- Flag to Flag
- Hydro Thunder
- Monaco Grand Prix
- Mortal Kombat Gold
- NFL 2K
- NFL Blitz 2000
- Pen Pen Trilcelon
- Power Stone
- Ready To Rumble Boxing
- Sonic Adventure
- Soul Calibur
- The House of the Dead 2
- TNN Motorsports Hardcore Heat
- Tokyo Xtreme Racer
- TrickStyle
Europe -14 Octobre 1999
- Blue Stinger
- Dynamite Cop
- Incoming
- Millennium Soldiers Expandable
- Monaco Grand Prix RS22
- Power Stone
- Ready 2 Rumble Boxing
- Sega Bass Fishing
- Sega Rally 2
- Sonic Adventure
- Speed Devils
- Tokyo Highway Challenge
- TrickStyle
- Virtua Fighter 3 TB
Ludothèque Dreamcast : quelques exemples d’incroyables jeux Dreamcast !
Loin d’être exhaustive, concevoir cette liste a été un choix Cornélien ! Car devoir choisir parmi les :
- 216 jeux du Full Set Dreamcast Pal (européens)
- 271 jeux du Full Set Dreamcast US (Amérique du Nord)
- 606 jeux du Full Set Dreamcast Jap (Japon)
N’a pas été une mince affaire, loin de là…
D’autant lorsque l’on connaît les incroyables jeux sortis sur ces différents territoires commerciaux et l’incroyable créativité de ces derniers.
Liste des 40 jeux – licences Dreamcast à ne pas rater !
- 18 Wheeler American Pro Trucker
- 24 H du Mans
- Capcom vs. SNK
- Crazy Taxi – Crazy Taxi 2
- Daytona USA 2001
- Dead or Alive 2
- F-355 Challenge : Passione Rossa
- Grandia 2
- Headhunter
- Ikaruga
- Jet Set Radio
- Legacy of Kain : Soul Reaver
- Marvel vs Capcom 2 : New Age of Heroes
- M.S.R : Metropolis Street Racer
- Nightmare Creatures 2
- Phantasy Star Online – Phantasy Star Online Version 2
- Power Stone 1 – Power Stone 2
- Rayman 2 : The Great Escape
- Ready 2 Rumble Boxing – Ready 2 Rumble Boxing : Round 2
- Resident Evil : Code Veronica
- Rez
- Samba De Amigo
- Seaman (Jap)
- Segagaga (SGGG – Jap)
- Sega Rally 2
- Shenmue – Shenmue II
- Skies of Arcadia
- SoulCalibur
- Sonic Adventure 1 – Sonic Adventure 2
- Space Channel 5 – Space Channel 5 Part 2 (jap / US)
- Street Fighter III : 3rd Strike – Fight for the Future
- The House of the Dead 2
- The Nomad Soul
- The Typing of the Dead
- Tokyo Highway Challenge – Tokyo Highway Challenge 2
- Tony Hawk’s Pro Skater – Tony Hawk’s Pro Skater 2
- Toy Commander
- Virtua Fighter 3 TB : Team Battle
- Virtua Tennis 1 – Virtua Tennis 2
- Wacky Races : Les Fous du Volant
Dreamcast : une console trop en avance sur son époque ?
La console de salon de SEGA était clairement à des années lumières en avance sur la génération d’avant et sur les consoles concurrentes dans bien des domaines !
En prenant le meilleur de chaque génération précédente et en tentant de se projeter : SEGA avait fait un coup de maître technologiquement parlant !
Mais également concernant l’innovation de sa Dreamcast : qui sera encore et toujours plus visible au Japon et en Amérique du Nord (accessoires, modems, périphériques, jeux, possibilités).
Et la sortie d’un Modem plus puissant qu’en Europe et des accessoires plus avancés (câble NeoGeo Pocket, Dreamcast Karaoké, clavier, souris, manettes, micro, webcam / appareil photo…).
Problème : les infrastructures réseaux Internet en France / en Europe n’étaient pas vraiment déployées, encore peu fiables et le débit n’était pas aussi puissant qu’actuellement…
L’illimité n’était pas non plus de la partie et se connecter était vraiment pas très ergonomique : CD à insérer, identifiant et mot de passe à retaper à la manette bien souvent, lenteur et stabilité du bas débit et modem moins rapide qu’au Japon / USA… Ce qui malheureusement, compliquera grandement les choses…
Mais qui aurait mérité de décerner des médailles de la patience et de la passion aux joueurs qui tentaient :
- De créer leur première messagerie électronique
- De surfer sur le Web de l’époque
- Et de jouer à Phantasy Star Online ! Pour faire ses premières parties de jeu en réseau sur console (France / Europe : au Japon / US, jouer sur consoles existait depuis fort longtemps) !
Dreamcast – SEGA : entre rude concurrence et coups en dessous de la ceinture…
La situation de SEGA était bonne, mais moins favorable qu’à l’époque de la guerre des consoles (ni sans compter les premières consoles et celles concurrentes : Atari, Nec, SNK ou autres consoles « anecdotiques »…) :
- SEGA Master System – Master System 2 Versus Nintendo Nes
- SEGA GameGear Versus Nintendo GameBoy
- SEGA MegaDrive – MegaDrive 2 – Genesis Versus Super Nintendo – Super Famicom
- Et au lancement de la SEGA Saturn Versus Nintendo 64 Versus PlayStation 1…
SEGA – Dreamcast : entre fins de génération, génération naissante, nouvelle concurrence et erreurs du passé…
Puisque grosso modo, SEGA était en transition face à des consoles concurrentes en fin de vie et émergentes comme :
- La Nintendo 64 – Gamecube
- La PlayStation 1 – PlayStation 2
Avec une trésorerie affaiblie, des années de mauvais choix (Mega-CD – SEGA-CD, 32X, différentes moutures, 2D / hésitation pour la toute-puissance 3D sur Saturn, choix commerciaux et marketing douteux…).
La situation n’était pas mauvaise, mais SEGA n’avait pas vraiment su profiter du moment de mou de Nintendo avec sa N64 : avec une vraie machine et un marketing aussi agressif qu’à l’époque MegaDrive / Super Nintendo…
La firme se retrouvait donc bien plus limitée financièrement parlant et dans les choix qui s’offraient à elle. Avec un nouveau concurrent arrivant dans la guerre des consoles et pas des moindre ! Sony – PlayStation !
Erreurs stratégiques, guerres intestines, abandon des développeurs / de leurs jeux… LE nauvrage Dreamcast, sabordé par SEGA !
Comme l’indiquait un ancien cadre dirigeant de SEGA US et pour le paraphraser :
SEGA, c’est 18 ans d’erreurs et de mauvais choix.
Comme avec la foireuse stratégie Sega Saturn, à la suite des antécédents qui n’étaient déjà pas du tout judicieux (Mega-CD, 32X) :
- Architecture interne ne facilitant pas le travail des développeurs
- Difficulté des portages PC…
- Pertinence du prix de lancement
- Temps de réactivité face à PlayStation pour repositionner le prix de la Saturn
- Choix stratégiques et partenariats pas assez ambitieux
- Publicités mollassonnes…
- Peu d’anticipation…
Sans oublier la fameuse histoire des projets en amont de la Dreamcast (entre la Saturn et la conception de la DC) pour définir les contours de la future console de SEGA :
- Sega Black Belt (3Dfx, Microsoft), Sega of America.
- Sega Dural – Katana (Nec, Videologic, Hitachi, Yamaha, Microsoft), Sega Japan.
Ce sera finalement le projet Dural / Katana, son processeur Power VR2 de Nec et son lecteur GD-Rom (ses disques disposant de plus de place, sécurité accrue contre le piratage) qui seront choisis.
Et la confusion en résultant, démontrant une certaine cacophonie. Mais surtout un certain nombre de conflits internes (naissants ?) chez SEGA, comme à l’époque de la Saturn…
Comme celles cumulées en amont, en enfilant les mauvaises idées comme des perles et qui n’iront pas dans le bon sens).
SEGA : l’arrêt en tant que constructeur de consoles de salon… L’épisode SEGA – SAMMY
Il faut savoir que lorsque SEGA a suivi la très mauvaise décision de se retirer du marché des jeux vidéo comme constructeur de consoles (à cause de certains dirigeants et actionnaires).
Le choc a été vécu comme un véritable choc auprès des joueurs et de toute l’industrie ! Un véritable traumatisme, une plaie béante à jamais ouverte pour les SEGA fans…
Une erreur IMPARDONNABLE de SEGA.
Après la décision de se retirer du marché des constructeurs de consoles de jeux et de stopper prématurément la Dreamcast et ses jeux en gestation. Sega décida néanmoins de rester en tant que développeur / éditeur de jeux.
Sega fusionna alors avec Sammy pour ne pas sombrer. Et des années de restrictions passèrent par-là, avec une certaine traversée du désert…
Console Xbox : la Dreamcast 2 spirituelle de Microsoft ! Entre romantisme des joueurs SEGA et débuts de la next gen
Là aussi, après que Nintendo et SEGA avaient pris de haut à de nombreuses reprises Sony et Microsoft. L’envie de venir marcher sur leurs platebandes et l’esprit de revanche avait fait rentrer le loup dans la bergerie, mais le mal était déjà fait et irrémédiable…
Sony pris le parti d’être impitoyable, borderline, ultra-agressif, dépassant les limites très souvent. Le dossier de rachat d’Activision / Blizzard / King par Microsoft l’avait démontré (étude des documents et confirmé le vrai visage de PlayStation).
Pendant ce temps, Microsoft avait choisi la stratégie de bâtir une stratégie indépendante à sa maison mère, à laisser beaucoup de latitudes à Xbox via une stratégie à long terme (sans vouloir faire de vague VS Microsoft Corporation…)
Dreamcast + Xbox = Dreamcast 2 spirituelle V2 !
Console de jeu surpuissante, jeu en ligne, modem incorporé, port 4 manettes, suites de jeux SEGA (Sega Rally 3, Jet Set Radio Future, Panzer Dragoon Orta, Shenmue 1 et 2 HD, Project Gotham Racing 1 et 2 – MSR…). Jeux qui auraient pu sortir sur Dreamcast ou la future console de SEGA (SI la firme n’avait pas tout gâché…)
Si la Xbox n’est pas la suite de la Dreamcast par philosophique : c’est à en perdre son latin ! Une console qui pour son arrivée, avait d’ailleurs quasiment fait un sans-faute (sauf pour pénétrer le marché japonais, la bête noire Xbox depuis toujours…).
Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si une partie des joueurs DREAMCAST sont venus sur les consoles de Microsoft, comme pour effectuer un transfert de SEGA sur consoles de salon Xbox. Comme pour nourrir leurs côtés nostalgiques / romantiques qu’entretenaient positivement les joueurs à la firme du hérisson bleu.
Dreamcast 2024 : toujours un noyau dur de passionnés autour de la console révolutionnaire de SEGA !
En guise de chapitre de conclusion, le constat est sans appel : le romantisme autour de la Dreamcast SEGA est toujours présent.
Tout sauf un effet de mode : la passion autour de cette si chère Dreamcast et du mélodrame (en partie) consécutifs à certaines personnes nébuleuses chez SEGA immortalise cette console Dreamcast dans la légende du jeu vidéo.
Bien moins nombreuses que les personnes « fans » des consoles de marques Microsoft, Nintendo PlayStation… Il n’empêche que les passionnés le sont souvent bien plus profondément que pour les autres firmes et pour toujours.
Époque révolue et unique en son genre, fin d’une ère oubliée ou jamais connue pour la plupart des joueurs actuels.
Les différentes guerres des consoles SEGA jusqu’à l’annonce de la fin de la firme de Haneda en tant que constructeurs de consoles ont été dantesques, épiques et mythiques : presque sacrées !
Les plus nostalgiques ont ainsi pu aller vers d’autres navires comme les consoles Xbox, PlayStation, Wii – Wii U – Switch et PC.
Néanmoins, l’envie de continuer d’entretenir cette flemme commune pour l’amour envers les consoles de SEGA et son immense patrimoine est généralement Plus Fort (Que Toi !).
Avec des passionnés qui recréent leurs consoles rêvées et investissent une énergie folle dans cette douce folie !
Tout comme la scène HomeBrew SEGA et des jeux indépendants / des développeurs indépendants sur consoles SEGA.
Scène toujours très active et prolifique au demeurant et qui est synonyme de cette passion éternelle autour de SEGA : notamment autour de sa console Dreamcast.
Over Jump Rally : l’ambitieux Remake Unreal Engine 5 – 4K – de Sega Rally d’Alessandro Schiassi !
Mais également de la passion pour le software SEGA, avec des développeurs indépendants et passionnés produisant un travail exceptionnel !
Comme le fabuleux Over Jump Rally, bluffante démo Sega Rally via Unreal Engine 5, 4K et 60 fps !
Prodigieux projet « Sega Rally 2024″ (car régulièrement amélioré) Over Jump Rally, JOUABLE et créé par le très talentueux Alessandro Schiassi (salut à toi !) ! 😉
Véritable passionné devant l’éternel de SEGA et de sa console Dreamcast.
SEGA Dreamcast Info Games Préservation – Laurent Comby : l’archéologue 2.0 de la Dreamcast et du jeu vidéo
Comme avec les jeux SEGA prototypes, les jeux SEGA abandonnés et jamais commercialisés sur le marché (à notre plus grand désarroi), via l’arrêt brutal de la Dreamcast sur le marché du jeu vidéo.
Le meilleur exemple en date est cet incroyable archéologue des jeux vidéo SEGA (mais pas que) qu’est le très talentueux Laurent Combi : avec Sega Dreamcast Info Games Préservation.
Exhumant directement données, informations et jeux Dreamcast !
Refaisant apparaître une indescriptible vague de nostalgie auprès des fans qui attendaient tant ces incroyables projets de jeux sur Dreamcast… Gâchés certaines personnes chez SEGA…
Mais aussi en communiquant avec d’autres formes de passionnés : les développeurs en charge des jeux Dreamcast de l’époque !
25ᵉ anniversaire de la Dreamcast de Sega : conclusion
Une constellation de talents qui démontrent bel et bien qu’autour des planètes et des satellites SEGA : subsiste une passion infinie pour le constructeur de consoles et sa Dreamcast.
Encore un joyeux anniversaire pour les 25 ans de la Dreamcast et aux souvenirs émus qui remonteront chez ses passionnés. 🙂
Car souvenez-vous bien d’une chose, la Dreamcast de :
SEGA, c’est plus fort que toi !
Maître SEGA !